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    DSF qu'est-ce que c'est?<o:p></o:p>

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    Qui sommes nous ?<o:p></o:p>

    Développement Sans Frontières est une jeune association qui travaille à la mise en valeur des échanges entre les acteurs du développement des Pays du Sud, à travers des formations et de l'accompagnement de projets.<o:p></o:p>

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    Cliquez ici :<o:p></o:p>

    Présentation détaillée de DSF<o:p></o:p>

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    Ce que DSF vous propose :<o:p></o:p>

    Associations étudiantes, associations de quartiers<o:p></o:p>

    Voyageurs solidaires, volontaires en recherche de projet<o:p></o:p>

    Un accompagnement et des formations dans votre démarche de recherche de partenaires et de financements.<o:p></o:p>

    Des formations à la gestion de projet, aux échanges interculturels, adaptées à votre association.<o:p></o:p>

    Un statut associatif pour soutenir votre projet.<o:p></o:p>

    Un suivi de votre projet pour vous accompagner dans les différentes phases de sa réalisation.<o:p></o:p>

    Associations du Sud, ONGs : Une aide au recrutement de volontaires et bénévoles compétents pour vos projets, Des formations en gestion ou sur des domaines techniques variés.

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    Historique de l'association<o:p></o:p>

    ·         De nombreux volontaires et bénévoles souhaitent voyager pour aider les associations du Sud mais ne savent pas comment se rendre utile. <o:p></o:p>

    ·         Pourtant, ces associations ne trouvent pas toujours de volontaires compétents. <o:p></o:p>

    ·         Partant de ce constat, Sébastien Bourbousson et Ghislain Morard décident en 2006 de fonder Développement Sans Frontières. En se posant comme intermédiaire entre les volontaires motivés et les associations nécessiteuses, DSF apporte de la valeur ajoutée au travail du volontaire et au projet demandé par les structures locales. <o:p></o:p>

    ·         Dans une deuxième démarche, DSF élargit son niveau de recrutement à toutes les personnes susceptibles de pouvoir aider sur des projets de développement de solidarité de tous types : les volontaires, les étudiants stagiaires, les professionnels et les bénévoles iront agir sur des projets aussi bien de courte durée à petite échelle dans des associations que sur des projets techniques et ambitieux de plus long terme. Le besoin varie selon les types de projets et est plus ou moins fort. Nous sensibilisons, nous agissons, nous accompagnons, nous formons. <o:p></o:p>

    ·         Nous créons nos propres programmes et projets afin de répondre à des besoins récents et nouveaux. Concrètement, nous agissons aussi bien sur des missions d’éducation, de sensibilisation aux droits de l’homme, sur des programmes de santé, sur des échanges interculturels dans le sport, sur des publications et organisations de débats, sur des projets techniques d’ingénierie, sur de la production audiovisuelle, sur des formations en informatique, formations à l’expatriation, à l’interculturel, sur des missions d’appui-conseil aux actions d’urgence ou même sur des créations de coopératives de commerce équitable… le tout si possible en partenariat avec les acteurs pionniers des secteurs concernés pour plus d’efficacité. <o:p></o:p>

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    Les objectifs de DSF<o:p></o:p>

    Accompagner les associations de solidarité dans leur processus de recrutement : beaucoup d'associations ne savent pas comment trouver des volontaires pour les aider, comment identifier les compétences qui leurs permettraient de répondre à leurs besoins.<o:p></o:p>

    Accompagner les volontaires et bénévoles, seuls ou en groupes, dans leurs démarches, notamment en les mettant en contact avec des associations qui ont besoin de leurs compétences.<o:p></o:p>

    Former : la formation est au coeur de toutes nos actions. L'accompagnement que propose DSF, à tous les niveaux, vise à rendre les acteurs partenaires plus compétents, à leur offrir la possibilité de progresser, et non à les assister en travaillant pour eux.<o:p></o:p>

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    SOURCE : www.developpementsansfrontieres.org<o:p></o:p>


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    INTRODUCTION<o:p></o:p>

    Je suis resté un mois au sein de l'association locale DANAYA. Celle-ci oeuvre depuis près de 20 ans pour l'amélioration des conditions de vie dans le quartier de Niamakoro. Quartier le plus pauvre et populaire de Bamako, au Mali. Cette structure est composé de 6 volets : un centre d'écoute, une école communautaire, un centre de formation de football, un bureau des jeunes, une troupe théâtrale et un groupement de femmes (près de 500 !). Ceux-ci ont été créé en fonction des attentes de la population locale. <o:p></o:p>

    L'objectif de cette mission était d'étudier et d'analyser cette structure afin d'envoyer des volontaires en fonction de leurs besoins et de leurs attentes.<o:p></o:p>

    Au-delà de cette mission, j'avais un rôle de transmettre des compétences. choses que j'ai pu faire. Après l'étude, j'ai travailler avec le pérsident de l'association pour lui montrer et organiser sa comptabilité, qui était jusqu'à présent inexistante. chose très délicate lorsque l'on demande des aides financières ou techniques...<o:p></o:p>

    J'ai donc organiser et expliquer toute la comptabilité et la gestion de base. J'ai également mis en place un budget prévisionnel (une fois de plus inexistant), pour leur permettre de bénéficier d'une ligne de conduite comptable pour l'année 2007/2008.<o:p></o:p>

    De plus, l'association a un réel problème de communication interne, comme externe. J'ai donc formé les différents dirigeants de chaques pôles à animer des réunions, organiser la communication, responsabiliser les différents acteurs, ...<o:p></o:p>

    J'ai également formé une personne à la recherche sur internet, ainsi que créer une plaquette de présentation de l'association (ci-dessous).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    CONTEXTE DE LA CREATION DE L’ASSOCIATION "DANAYA"<o:p></o:p>

    L’association a été créée en 1989, mais reconnue officiellement par l’état en le 21 septembre 1994, difficulté due au gouvernement en place.  <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>A l’époque, il n’y avait aucun accès pour rejoindre le quartier sud de Bamako, appelé Niamakoro. Les jeunes ne sachant pas quoi faire consommaient de la drogue, faisaient du banditisme, n’avaient aucune éducation scolaire comme familiale. Une jeunesse dépravée sans aucun avenir.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le 1er objectif était de monter une troupe artistique ayant pour objectif d’occuper les jeunes puis leurs prouver qu’ils pouvaient avoir un avenir. Les jeunes et la population locale a complètement adhéré au projet. De là, un local a été loué pour les répétitions et l’initiation à la musique. Lors d’un concours organisé par l’état, la troupe est arrivé 3ème ce qui a développer l’activité et un partenariat est né avec l’ONG « INDA TIERS MONDE », en 1993. Par la suite, une chanteuse de la troupe est arrivé 2ème au niveau national.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le 2ème objectif, fut la création d’un centre d’écoute, en mai 1996. Dont le but est d’accueillir, d’écouter et d’orienter ces jeunes en situation difficiles. 2 animateurs gèrent l’accueil. Après l’écoute des problèmes et l’identification des besoins, ils sont orientés vers le pôle souhaité. 50 jeunes filles ont pu ainsi être placé dans un centre de formation de couture, aujourd’hui, elles sont à leurs propres comptes. La première année sur 270 enfants, 100 souhaitaient être scolarisés. Sachant qu’il n’y avait qu’une école pour 72 000 habitant, en 1996.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le 3ème objectif était donc de mettre en place une école communautaire, en 1997, à moindre coût que l’école publique existante qui n’acceptait que 100 élèves. Le but était de scolariser un maximum d’enfants. Toute la population du quartier a adhéré à ce projet.<o:p></o:p>

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    Le 4ème objectif, en 1997, fut la création d’un centre de football. Qui par la suite fut affilié à ACEFOOT (Association Centre Ecole Foot) organisation national au Mali, dont Ibrahima KAMERA (président) est trésorier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le 5ème objectifs, en 1998, une coopérative de consommation fut confié aux personnes âgées, leurs permettant d’avoir accès aux céréales à moindre coût. Ce projet a été financé par AFRIQUE VERTE.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le 6ème objectif, en 1998, le centre d’écoute développe un programme d’alphabétisation dans la langue locale. Les femmes participant à ce programme ont demandés de créer des groupements de femmes. Aujourd’hui 15 groupement de femme existe, avec chaque groupe entre 80 et 200 personnes. Le tout coordonné par 51 femmes.<o:p></o:p>

    L’activités est génératrice de revenu : teinture, confection de savon, de pâte d’arachide, un moulin est implanté (pas encore fonctionnel) et la mise en place de petit commerce financé grâce à des organismes de micro-crédit (caisses locales + partenaires).<o:p></o:p>

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    Le 7ème objectif, en 1999 est l’ouverture du bureau des jeunes. Recherche de projet d’activité, formation Internet, recherche d’action participative et de financement pour des projets d’activité de développement.<o:p></o:p>

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    Le 8ème objectif, en collaboration avec INDA TIERS MONDE : projet international de quartier du monde.<o:p></o:p>

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    Situation géographique

    Situé en Afrique de l'Ouest, le Mali et a 7 pays frontaliers : la Mauritanie, le Sénégal, la Guinée, la Côte d'Ivoire, Le Burkina, le Niger et l'Algérie.

    Capitale: Bamako 

    Population: 11,0 millions (2001)

    Langue officielle: français  

    Groupes minoritaires: une trentaine de langues dont le bambara, le bozo, le bomu, l’arabe hasanya, le fulfude, le malinké, le sénoufo, le dogon, le songaï, etc. 

    Système politique: république unitaire

     

    Les ethnies

    Près de 40 % des habitants du pays appartiennent à l'ethnie mandingue; ce sont majoritairement des Bambara vivant principalement dans le district de Bamako. Ils sont suivis par les Peul (13,9 %), les Sénoufo (9 %), les Soninké (8,8 %), les Dogon (8 %), les Songaï (7,2 %), les Malinké (6,6 %), les Dioula (2,9 %), les Bwaba (2,4 %), les Touaregs (1,7 %), les Maures ou Berbères (1,2 %). Les Peul habitent la sous région de Macina (Kayes), les Sénoufo vivent autour de Sikasso dans la zone frontalière avec le Burkina et la Côte d’Ivoire, les Soninké dans l’Ouest (Kayes), les Dogon au nord-ouest sur le plateau de Bandiagara, les Songhaï sont établis dans l’Est, tandis que  le Sahara (région de Tombouctou) est le domaine des Berbères et surtout des Touareg nomades.

    Ces découpages ethniques se retrouvent dans la répartition du travail. Les Bambara, les Dogon et les Sénoufo sont généralement des paysans; les Bozo, des pêcheurs; les Marka et les Malinké, traditionnellement des commerçants, constituent l'essentiel de la population urbaine; les Touareg, les Peul (Fulani) et les Maures (Berbères), nomades, sont en majorité des éleveurs. 

    L’islam, teinté d’animisme, est la religion de 90 % des Maliens. Quelque 9 % d'entre eux ont conservé des croyances animistes. Le christianisme ne touche que 1 % de la population. 

     

    Les langues locales

    Le pays compte une trentaine de langues, mais une dizaine seulement sont parlées par plus de 100 000 personnes. Elles sont d’ailleurs dotées d’une écriture alphabétique depuis 1967. De toutes les langues nationales, le bambara (2,7 millions de locuteurs comme langue maternelle), une langue de la famille nigéro-congolaise, demeure manifestement la langue la plus importante d'autant plus qu'elle est comprise par au moins quatre millions de personnes.

    Au centre-est du Mali, du lac Débo jusqu’à Gao (et en république du Niger), on trouve le songhaï (6 %), une langue nilo-saharienne. Dans le nord (Tombouctou, Kidal et Gao), on parle le tamasheq, la langue des Touaregs berbères, ainsi que l’arabe hasanya (ou maure); ces deux langues sont parlées par 5 % de la population malienne. Toutes les autres langues sont parlées dans le Sud, où les nombreux idiomes locaux sont plus ou moins enchevêtrés. Le peul ou fulfude (Kayes, Mopti et Ségou) est parlé par 17 % de la population; cette langue s’apparente aux langues des Wolofs et des Toucouleurs. Mentionnons aussi le dogon (Mopti), le sénoufo (Ségou) et le samo (Mopti), parlés par 12 % de la population. La plupart des langues maliennes appartiennent à cette grande famille nigéro-congolaise, qui se divise en plusieurs sous-groupes, dont le gur, le mandingue, l'ouest-atlantique et le kwa.

    D'autres langues font partie de la famille chamito-sémitique telles que l'arabe hasanya (ou maure) du groupe chamite et le tamasheq (ou touareg) du groupe berbère, mais quelques-unes appartiennent à la famille nilo-saharienne (songaï et daoussak),  Parmi les langues nigéro-congolaises comptant plus de 100 000 locuteurs.

    Du point de vue du statut, les autorités maliennes ont reconnu 13 langues nationales. L'article 1 du décret 159 PG-RM du 19 juillet 1982 cite les langues suivantes: le bambara (ou bamanankan), le bobo (bomu), le bozo, le dogon (dogo-so), le peul (fulfulde), le soninké (soninke), le songoy (songaï), le sénoufo-minianka (syenara-mamara et le tamasheq (tamalayt). Mais d'autres langues sont également reconnues: le hasanya (arabe), le kasonkan, le madenkan et le maninkakan. Le français, quant à lui, bénéficie du statut de langue officielle, mais le bambara sert, dans plusieurs régions, de principale langue véhiculaire. Il n'est pas rare que, dans les villages du Sud, les enfants soient bilingues (langue locale + bambara), voire trilingues. À l’école, le français est souvent  enseigné en tant que quatrième langue.

    SOURCE : www.tlfq.ulaval.ca

     

     

    CONSEILS POUR LE SEJOUR


    Comment s'y rendre

    Air France assure un vol quotidien au départ de Paris.
    Point Afrique propose 1 à 2 vols hebdomadaires au départ de Paris. Durant la saison touristique, Point Afrique propose aussi des vols à destination de Mopti (départ de Paris et de Marseille).
    Il est aussi possible de rejoindre Bamako avec Air Sénégal International via Dakar, Royal Air Maroc via Casablanca, Air Algérie via Alger et Air Burkina via Ouagadougou.

    Formalités
    Il est nécessaire d'avoir un passeport en cours de validité d'au moins 6 mois et de demander un visa. Sur le site du Ministère des Affaires Etrangères du Mali vous trouverez les coordonnées des consulats Maliens : http://mali.viky.com/min_affairesetrangeres/fr/cgi-bin/view_article.pl?id=30

    Vaccins
    Seule la fièvre jaune est obligatoire. Sont toutefois conseillés les vaccins pour le tétanos, la méningite, la fièvre typhoïde. Un traitement anti-paludéen est conseillé (Nivaquine, Savarine, …).
    Consultez votre médecin ou un pharmacien.

    Change (100 fcfa = 0.15 €)
    Le change peut se faire dans les banques ou dans les hôtels.
    A Bamako un seul Guichet automatique de billets où seules les cartes visas sont acceptées. Mais à l'aide d'une carte visa il est possible de faire des retraits aux guichets des banques. Les travellers chèques sont acceptés dans les banques et certains hôtels.

    Habillement
    Prévoir des vêtements légers où l'on se sent à l'aise. Pour les dames notamment, il est conseillé d'éviter les jupes trop courtes et les hauts trop décolletés.
    Pour la saison « froide », de Décembre à Janvier, emporter des vêtements un peu plus chauds.

    Eau
    Il est prudent de consommer de l'eau en bouteille ou de prévoir des pastilles qui purifient l'eau.

    Prévoir
    Une lampe torche avec des piles de rechange, chapeau, lunettes de soleil, chapeau, chaussures de marche, répulsif anti-insectes, quelques médicaments (aspirine, anti-diarrhéiques, pansements, …).

    Accueil à l'aéroport
    L'accueil à l'aéroport est assuré par le guide qui vous accompagnera durant le séjour. C'est aussi lui qui vous raccompagnera jusqu'à l'aéroport.

    Transport 
    Le transport s'effectue en minibus, 4X4, berline classique ou transport en commun suivant l'option choisie.

    Assurance
    Il est conseillé aux visiteurs de souscrire avant leur départ une garantie assistance rapatriement auprès de leur compagnie d'assurance.

    Hébergement
    Les hôtels sont équipés de la climatisation et de sanitaires privatifs.
    Les campements-hôtels, que l'on trouve surtout au Pays Dogon, disposent de sanitaires communs à plusieurs chambres. Ils ne sont pas équipés de climatisation en raison de l'absence de courant.
    Pour le campement, on utilise des toiles de tente. Il y a des sanitaires à proximité.
    Nous fournissons un matelas en mousse à chaque personne.
    Pour la descente du fleuve en pinasse, l'hébergement se fait en camping « sauvage » près des villages. Chaque pinasse est équipée d'une toilette.
    Sac de couchage et linge de toilette ne sont pas fournis.

    Repas
    Les petits déjeuners et les repas sont pris dans les restaurants sauf durant le trekking ou la descente du fleuve en pinasse où ils sont préparés par notre équipe.

    SOURCE : www.bienvenueaumali.com


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